LA MORT N’EXISTE PAS

Contribution La Griffe Maine

Rubrique Métaphysique

Intérêt général de l’ouvrage ▲▲▲▲△

Facilité de lecture ▲▲▲△△

Rapport avec le rite ▲▲▲△△

En sa qualité de journaliste et d’ancien reporter de guerre, Stéphane ALLIX a bien les pieds sur terre en l’année 2023, rédaction de son livre, après que Thomas, son frère, ait été tué devant ses yeux, en 2001.

La mort lui est devenue un sujet d’interrogation permanente. Il a questionné des neuroscientifiques, interrogé des chercheurs, des témoins comme celles et ceux ayant vécu une expérience de mort imminente, mais aussi expérimenté des situations chamaniques.

L’auteur aimerait découvrir qu'il y a une conscience en dehors du cerveau ; et si la conscience n’était pas fabriquée par le cerveau, s’interroge-t-il ? La conscience pourrait-elle être cosmique ? Serions-nous tous connectés, par énergies, ondes ? Et si cette conscience était ce que nous sommes ?

Nous avons un corps, mais nous ne sommes pas ce corps ; aucun mécanisme cérébral ne peut permettre qu'une personne dans le coma décrive tout ce qui se passe dans le bloc opératoire, et encore moins dans la pièce d'à côté. À l'occasion d'une transplantation cardiaque d'urgence, un chirurgien témoigne de la présence d’une conscience de son patient pendant l’intervention, dès-lors que le patient a lui-même ultérieurement témoigné de ce qu’il a vécu et vu pendant l’opération.

Si la mort n'est que la fin de notre aspect physique, la conscience quant à elle, n’a ni commencement ni fin ; la naissance, la vie, la mort, ne sont que des changements d'état de la conscience. Selon un neurochirurgien, la réalité que nous observons est une projection de l'âme utilisant corps et cerveau pour se projeter dans la manifestation. Stéphane ALLIX, par ses investigations, essaie de comprendre l'indicible langage de l'âme, qu’il qualifie de lumière subtile de notre intuition masquée par l'éclat égotique de notre cerveau mental.

L’âme se serait glissée dans un rôle pour vivre une expérience terrestre ;
Socrate avait-il l'intuition que l'écriture pouvait-être un piège, une prison pour l'intelligence quand elle délaisse l'expérience sensible au profit de la seule rhétorique ? Les textes des philosophes seraient-ils des expériences voilées